oral DALF C1

Production orale DALF C1 : le livre est sorti !

Vous souhaitez vous préparer à l’oral du DALF C1 ? J’ai l’immense plaisir de vous annoncer la sortie du onzième livre de commun français : Production orale DALF C1.

Ce livre s’adresse aussi bien aux candidats qui se préparent seuls à l’oral du DALF C1 qu’aux professeurs qui cherchent de nouvelles ressources pour leurs cours.

Pourquoi un nouveau guide pour préparer l’oral du DALF C1 ?

La préparation d’un examen fait souvent oublier l’importance d’un exercice dans la « vraie vie ». Pourtant, au-delà de la réussite au DALF C1, la maîtrise de l’exposé oral et de l’argumentation sera certainement utile pour des projets d’études ou de travail dans le monde francophone. L’exposé oral est un exercice désormais incontournable aux études supérieures et aux concours. Des techniques d’argumentation efficaces sont indispensables chaque fois qu’il faut convaincre un destinataire de son point de vue.

Toutefois, l’épreuve de production orale du DALF C1 fait souvent peur, car l’exposé et l’entretien avec un jury sont des exercices nouveaux pour certains candidats qui ne les abordent jamais dans leur système scolaire. Par ailleurs, ils demandent des savoir-faire complexes qui sont difficiles à décrire. De fait, les manuels de préparation à l’examen ne prennent pas le temps de les expliquer, en particulier pour l’entretien.

C’est pourquoi ce guide prend le temps d’exposer les savoir-faire à acquérir. C’est pourquoi, aussi, il choisit une méthode pédagogique qui donne à tous les candidats les mêmes chances de réussite.

une méthode pédagogique qui donne à tous les candidats les mêmes chances de réussite

En effet, comme tous les guides de la collection « À l’épreuve ! », Production orale DALF C1 suit une méthode pédagogique dite explicite. Son principe est d’expliquer le plus précisément possible tous les différents aspects de l’apprentissage : programme, étapes, méthodologie, stratégies, etc. Ainsi, le lecteur sait à tout moment ce qu’il doit faire et comment le faire. Il commence par découvrir les objectifs à atteindre. Ensuite, il observe un modèle d’épreuve déjà réalisée pour comprendre la méthodologie. Puis, en suivant le guide étape par étape, il apprend à préparer un exposé et à le présenter. Enfin, il peut s’entraîner sur des sujets libres.

Il s’agit donc d’une méthode qui guide progressivement le lecteur vers l’autonomie, en l’aidant à adopter une méthode de travail efficace. Elle lui permet également de prendre confiance en soi, en apportant les stratégies utiles pour surmonter ses difficultés. Bref, elle donne sa chance à tout le monde : un candidat encore faible pourra atteindre le niveau minimum suffisant pour réussir l’épreuve ; un candidat déjà confirmé perfectionnera sa méthodologie et s’exprimera avec plus d’aisance.

Que trouverez-vous dans le livre Production orale DALF C1 ?

Afin de profiter pleinement de cette méthode progressive, il est conseillé de suivre dans l’ordre les différentes parties du livre.

L’introduction à l’épreuve est une partie importante. En plus des informations sur le déroulement de l’examen, elle détaille les compétences essentielles pour réussir.

Dans le modèle d’épreuve, le candidat pourra observer un exemple d’exposé. Toutes les étapes de préparation et les techniques employées y sont expliquées dans le détail. C’est une sorte de démo qui met en évidence les difficultés rencontrées et les solutions possibles. Dans cette partie, l’auteur fait l’exercice, le lecteur observe.

Les parties suivantes – production guidée puis préparation à l’entretien – invitent le candidat à passer à la pratique. Il est d’abord guidé dans son exposé en 3 étapes : planifier, présenter, contrôler sa production. Puis, il apprend à se familiariser avec différentes techniques pour réussir l’entretien avec le jury. De plus, des activités complémentaires apportent les connaissances linguistiques et les savoir-faire indispensables pour progresser dans la réalisation des 2 exercices. Dans ces 2 parties, l’auteur et le lecteur font les exercices ensemble. Des stratégies sont également conseillées pour mémoriser les nouvelles informations et améliorer son niveau à l’oral. Par ailleurs, certaines activités demandent d’écouter des documents audio. Les transcriptions sont disponibles dans les corrigés. Ces documents audio peuvent être téléchargés sur le site Internet de commun français.

Une dernière partie consacrée à la pratique en autonomie comprend 8 sujets d’entraînement accompagnés d’un modèle de corrigé. Cette fois, le lecteur travaille seul. Cependant, il est invité à poster sa production dans le groupe Facebook de commun français pour demander des conseils d’amélioration.

Enfin, le lecteur trouvera dans les annexes du livre des compléments importants pour sa préparation. Ce sont les thèmes fréquents à l’examen, le vocabulaire et la grammaire à connaître, ainsi que des liens Internet qui suggèrent des ressources complémentaires.

En bref, Production orale DALF C1 est conçu comme un véritable guide pratique qui accompagne le candidat vers l’autonomie grâce à un contenu riche et varié :

  • Une présentation détaillée de l’épreuve et des compétences attendues
  • Une explication simple et concrète des critères d’évaluation
  • Une méthode pour contrôler ses erreurs à l’oral
  • Les corrigés détaillés des activités et des sujets d’entraînement
  • Des activités pour enrichir son vocabulaire
  • Des conseils stratégiques pour une préparation encore plus efficace
  • Des listes détaillées des contenus linguistiques à connaître
  • Un chapitre spécialement consacré à l’entretien
  • Des documents audio à télécharger
  • Une liste de liens Internet pour trouver des ressources supplémentaires

Pour découvrir le sommaire détaillé et lire un extrait, rendez-vous sur la page du livre.

Où trouver le livre ?

Ce livre existe en version papier (livre) et en version numérique (e-book). La version numérique peut être lue sur ordinateur, tablette et téléphone, sur toutes les tailles d’écran. Elle est disponible sous plusieurs formats (PDF, Kindle, Apple Books…) La version papier est disponible à la commande sur Amazon.

Bonne lecture ! N’hésitez pas à me dire ce que vous pensez du livre en commentaire.

Découvrez également mon livre consacré à l’épreuve écrite du DALF C1.

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Sujet de production orale DALF C1

Sujet de production orale DALF C1

Je vous propose dans cet article un sujet de production orale DALF C1. Vous y trouverez la consigne ainsi que les documents. Et en bonus, je vous offre un modèle de plan !

Comme vous allez le voir, ce sujet de production orale DALF C1 porte sur les effets des écrans sur les enfants. C’est en effet un des thèmes fréquents à l’examen.

Cet exemple de sujet est extrait du livre Production orale DALF C1. Découvrez dans ce guide 8 sujets complets ainsi que de nombreuses activités d’entraînement.

Sujet de production orale DALF C1

Voici donc le sujet, qui comprend la consigne officielle et les documents.

1. Exposé (60 minutes de préparation, 8 à 10 minutes de passation)

À partir des documents proposés, vous préparerez un exposé sur le thème indiqué et vous le présenterez au jury. Votre exposé présentera une réflexion ordonnée sur ce sujet. Il comportera une introduction et une conclusion et mettra en évidence quelques points importants (3 ou 4 maximum).

Attention : les documents sont une source documentaire pour votre exposé. Vous devez pouvoir en exploiter le contenu en y puisant des pistes de réflexion, des informations et des exemples, mais vous devez également introduire des commentaires, des idées et des exemples qui vous sont propres afin de construire une véritable réflexion personnelle. En aucun cas vous ne devez vous limiter à un simple compte rendu des documents.

L’usage de dictionnaires monolingues français / français est autorisé.

2. Entretien (sans préparation, 15 à 20 minutes de passation)

Le jury vous posera ensuite quelques questions et s’entretiendra avec vous à propos du contenu de votre exposé.

Thème de l’exposé : les écrans sont-ils toxiques pour nos enfants ?

QI, langage, comportement : les effets de la surexposition aux écrans chez les enfants

C’est l’une des principales préoccupations des parents, bien conscients que cette activité n’est pas la meilleure pour leur progéniture : limiter le temps passé devant les écrans. Dans l’émission « Bienfait pour vous » sur Europe 1, ce mercredi, la Dr Anne-Lise Ducanda, médecin de protection maternelle et infantile et autrice des Tout-petits face aux écrans (éditions du Rocher), a rappelé à quel point télévision, téléphone, ordinateur et tablettes avaient un effet délétère sur les jeunes générations. Et donné quelques conseils pour s’en passer. […]

Ce qu’il faut comprendre, explique la spécialiste, c’est que « le cerveau de l’enfant est programmé génétiquement pour parler, marcher, se concentrer. Mais ensuite, tout dépend de l’environnement. » Et, dans le cas des jeunes en difficulté, « je me suis rendu compte que 95 % d’entre eux étaient surexposés aux écrans ».

Le cerveau des plus jeunes se développe « en fonction des expériences que va faire l’enfant, mais seulement si ces expériences sont dans le monde réel, en trois dimensions », insiste Anne-Lise Ducanda. Autrement dit, « ce qu’il voit, il faut qu’il le touche, qu’il bouge son corps. » Pour développer la motricité des mains par exemple, « il faut que les enfants aient des expériences de geste : porter, appuyer, glisser, pousser. »

Dès lors, devant les écrans, le cerveau des plus petits « va être privé de sa nourriture essentielle : interagir avec les humains, en premier lieu les parents, et découvrir le monde avec tous les sens combinés ». L’enfant ne va, par exemple, pas faire de gestes. « Les connexions cérébrales ne se font pas et, pire, le bombardement du tout-petit par les shoots visuels et sonores des dessins animés créeraient de mauvaises connexions cérébrales qui remplaceraient les bonnes », avertit la médecin.

Les troubles qui se manifestent sont variés. Au niveau du langage par exemple, « un enfant ne peut apprendre à parler que si un humain lui parle face-à-face. Avec les écrans, l’enfant va répéter sans mettre de sens dans les mots. Quand c’est à travers un écran, les mots ne captent pas, ne veulent rien dire », détaille Anne-Lise Ducanda. Les jeunes n’apprennent donc pas, ou très lentement, à parler, et leur vocabulaire s’appauvrit. « Il y a plus de 5 100 études qui montrent le lien entre écran et retard intellectuel », poursuit la médecin. « L’Inserm en juin a montré que les enfants qui ont souvent la télé à table ont une baisse de QI de trois points. »

Les troubles se retrouvent aussi dans la capacité d’interaction de l’enfant. Certains au niveau de la relation et de la communication peuvent même être confondus « avec des syndromes autistiques », alerte Anne-Lise Ducanda. Du côté de la motricité fine, le constat de la spécialiste est alarmant : « On a des enfants de 3 ans qui n’attrapent pas un stylo parce qu’ils ne font pas assez de gestes. » […]

Une bonne nouvelle dans ce marasme, toutefois : beaucoup des conséquences néfastes des écrans sont réversibles. « Le cerveau de l’enfant est très plastique », des progrès peuvent intervenir immédiatement dès que le temps d’écran diminue. Même chose chez les adolescents. « Un trouble de concentration à 14 ans peut disparaître en trois semaines si vous limitez les écrans à 6h/semaine », explique la médecin.

Les consignes d’Anne-Lise Ducanda sont d’une rigueur proportionnelle à la noirceur du tableau. « Il ne faut aucun écran de 0 à 2 ans », assène-t-elle. « Après, les études montrent que c’est délétère à partir de 15 minutes par jour. Je préconise donc 30 minutes les mercredi, samedi et dimanche seulement de 2 à 6 ans. » L’idéal restant d’arriver à faire encore moins. « Il faut donner de bonnes habitudes dès le début, il faut des règles », poursuit la spécialiste, fervente amatrice des contrôles parentaux et qui estime judicieux, par exemple, de mettre un chronomètre et de s’y tenir. […]

Europe 1, 15/09/2021

Thème de l’exposé : les écrans sont-ils toxiques pour nos enfants ?

Voici pourquoi il ne faut pas tenter d’éloigner vos enfants des écrans à tout prix

« Ce n’est pas l’écran qui pose problème », entame le docteur Aymeric de Fleurian, psychiatre directeur du Centre médico-psycho-pédagogique (CMPP) de Caen (Calvados), dans un entretien donné à l’édition du soir.

Il casse l’idée reçue selon laquelle il serait forcément mauvais pour les enfants de passer du temps devant les écrans. L’essentiel est de trouver l’équilibre entre ces appareils et les autres choses dont les plus jeunes ont besoin, explique-t-il. Le temps passé devant les écrans « entre en compétition avec d’autres activités et il doit rester pour l’enfant un moment de détente et de loisir. » […]

« L’écran n’est ni toxique, ni profitable en tant qu’objet pris individuellement. C’est la manière dont il est utilisé qui peut en faire quelque chose d’intéressant, insiste Aymeric de Fleurian. C’est un objet constructif dans l’attention partagée. » Et comme le développement de l’enfant ne se fait que dans la relation, il est important de faire de l’écran un objet utilisé en commun avec quelqu’un d’autre, au moins jusqu’à l’adolescence.

« Un jeune enfant ne sait pas se débrouiller seul, il faut impérativement commencer par faire avec lui », rappelle Aymeric de Fleurian. Devant des dessins animés, par exemple, « il faut être avec lui pour lui expliquer » et tout au long de l’enfance, il faut « maintenir l’accompagnement et s’intéresser à ce qui passe sur les écrans ».

L’écran ne prend une dimension négative que lorsqu’il prend trop de temps dans la vie de l’enfant. « Il faut réserver du temps à l’apprentissage de la préhension et du relationnel », poursuit le psychiatre. Ce qui ne peut se faire qu’en face-à-face, avec des interactions physiques. Il n’y a donc pas d’inquiétude à laisser un adolescent jouer aux jeux vidéo s’il partage son temps avec des activités qui lui apportent des interactions non virtuelles.

Aymeric de Fleurian avertit : « Empêcher un enfant d’utiliser les écrans peut avoir des conséquences sur son développement ». Jusqu’à 8 ou 9 ans, le problème ne se pose pas de manière trop prononcée, mais « passé cet âge, l’enfant devient plus sensible à la pression de ses pairs ». L’absence d’écran, vraisemblablement présent chez ses camarades, risque de créer un manque. Et l’interdiction amène le risque de transgression, créant un conflit potentiel entre parents et enfants.

Le médecin recommande donc de « trouver le temps d’écran raisonnable qui convient aux parents et aux enfants ». Pour définir la durée autorisée par les parents, « il faut prendre en compte les activités de l’enfant sur les écrans ». Le temps alloué pour des dessins animés ne peut pas être le même que pour un jeu de stratégie par exemple : « L’enfant doit avoir le temps de construire quelque chose. » Les écrans ne doivent pas empiéter sur les temps familiaux. Une étude de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) montre que le fait de laisser la télévision allumée pendant les repas est associé à un plus faible développement du langage chez les jeunes enfants. […]

Les règles d’utilisation des écrans doivent être posées en concertation entre les parents et les enfants et convenir à tout le foyer, « en veillant à l’équilibre des activités », insiste Aymeric de Fleurian. Il faut se mettre d’accord sur un temps restreint établi en semaine, mais le week-end ou pendant les vacances, on peut laisser de la marge. « Si un enfant a envie de passer plus de temps devant l’écran, il est possible de l’y autoriser tant que ça lui apporte quelque chose de constructif. »

Reste la question de l’exemplarité : « Le parent doit avoir un comportement cohérent avec les règles qu’il fixe ». Autrement dit, ne pas passer trop de temps sur les écrans, alors qu’il limite leur usage chez ses enfants. […]

Charles Deyrieux, Ouest France, 16/07/2021

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Modèle de plan pour ce sujet de production orale DALF C1

Voici maintenant un modèle de plan pour ce sujet de production orale DALF C1 :

Problématique : Enfants et écrans, comment garder le contrôle ?

I. Une situation alarmante ?

1. Omniprésence des écrans

a. Invasion au quotidien. Dans les foyers français, 5 écrans en moyenne : téléphones, téléviseurs, tablettes, ordinateurs, consoles de jeux…

b. Des usages en augmentation. Selon un sondage Ipsos, 3 heures/jour pour les enfants de 4 à 14 ans. Ajouter les usages du numérique à l’école.

2. Impacts négatifs

a. Troubles physiques : myopie, sommeil perturbé, surpoids par manque d’activité physique…

b. Troubles comportementaux et cognitifs : manque d’attention en classe, comportements addictifs > baisse des résultats scolaires.

c. Retard intellectuel : notamment pauvreté du vocabulaire. Selon une étude Inserm : télé à table > baisse de 3 points sur le quotient intellectuel (QI).

II. Carences liées à la surexposition

1. Manque d’interactions

a. Avec l’environnement. Pour développer le cerveau, besoin d’expérimenter, d’exercer les 5 sens et la motricité en 3 dimensions.

b. Avec les autres. Pour développer le langage, réception passive insuffisante. Interactions indispensables.

2. Manque de contrôle parental

a. Manque d’informations fiables. Informations souvent contradictoires ou confuses (quel écran pour quel âge ?) > diabolisation des écrans (tout interdire) ou laxisme (laisser faire).

b. Des parents eux-mêmes surexposés ! Hyperconnexion interférant avec l’éducation. Mimétisme des enfants.

III. Quelles solutions ?

1. Interdire les écrans ?

a. Apprentissage nécessaire. Écrans devenus inévitables dans notre vie. Usages bénéfiques aussi pour l’enfant (efficacité prouvée des tablettes pour lire, écrire, compter).

b. Combattre les idées reçues. Distinguer différentes activités et à différents âges. Règle du 3-6-9-12 (psychiatre Serge Tisseron) : pas d’écran avant 3 ans, puis initiation progressive jusqu’à 12 ans, début de l’autonomie.

2. Équilibrer les activités

a. Limiter le temps d’utilisation. Par exemple, avant 6 ans 15 minutes/jour maximum. Priorité aux activités plus constructives.

b. Alterner avec activités physiques et relationnelles. Maintenir les interactions familiales (pas d’écran à table…)

3. Accompagner l’enfant

a. Intégrer l’usage du numérique à l’éducation. Idée reçue : compétences naturelles des enfants. Contrôler les usages et encourager un regard critique.

b. Installer des moments d’échange. Ne pas laisser un jeune enfant regarder tout seul un dessin animé, mais répondre aux questions, commenter…

c. Montrer l’exemple ! Limiter les connexions en présence des enfants.

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À vous !

Vous avez besoin d’apprendre à préparer un plan détaillé pour la production orale du DALF C1 ? Découvrez les différentes étapes dans ce modèle d’exposé.

Voyez également cet exemple de plan dialectique pour l’oral du DALF C1 ainsi que différentes techniques pour mettre des arguments en valeur à l’oral.

Retrouvez d’autres sujets d’oral et plein d’activités d’entraînement dans mon livre de préparation à l’oral DALF C1, téléchargeable au format PDF.